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Exhibition de mon cochon

24 septembre 2012

mari cochon déménage

Mari cochon déménage Veuillez patienter...
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16 septembre 2012

Souvenir de cet été

Cet été à été propice à de nombreuse promenade en pleine nature qui on ete l'occasion de plusieurs journées d'exhibitions osées pour Michel.Quel délice de l'observé  évoluer nu comme un ver sur les chemins! Mieux que nu, équiper comme il se doit: Harnai, slip sale souillé de pisse et de sperme non lavé depuis plus de un an, sans oublié son cadeau d'anniversaire: Deus septre princier dont l'un pénettre se queue sur plus de dix centimètres.

Voici quelques photos pour commencer.

Mon porcinet nous montre son cul de jument. Il est équipé de son harnai, et à baisser son slip à pisse...

mimi_septre_14_09_2012 (128)

Le septre princier qu'il porte se termine par un petit arrosoir . de cette manière, quand il remonte son slip, il est obligé de s'arroser le ventre pour pisser...

M_Montre_son_spectre copie

Michel équipé pour une longue ballade...

mimi_septre_14_09_2012-(116)

Ce n'est plus un slip, mais une vrai serpillière! Pout tout vous dire, si pour comblé mon petit mari, je lui fais renifler et sucer son slip dégoutant, la ou il est bien sale. Il aime tellement!

mimi_septre_14_09_2012-(115)

Un couronne digne d'un prince pour la queue de mon chéri!

Septre

A bientôt pour la suire.

Bises, Caroline

14 septembre 2012

pic-nique, suite

Je découvrais avec plaisir le corps magnifique , entièrement épilé  de ce mâle .Sa queue qui pendait le long de ses cuisses se dressa presque instantanément quand il nous aperçu, dégageant de belles couilles très  allongées.

-Assi toi, et masturbe toi lui  lui ordonna Virginie.  Le jeune garçon s'exécuta .

Michel n' eut pas le temps de réaliser ce qui lui arrivait.  Virginie Se plantage devant lui, lui posa un baiser sur la bouche et lui palpa  cul en s’ adressent à  tout le monde :

- Voilà donc le cochon de Caroline !

Elle  le pri  par la main et le fi tourner pour le comtenpler .

-Ta maîtresse m' a dit que tu étais vraiment un porc?

- Oui madame

Elle promena ses doigts  sur le ventre lisse de Michel,  puis le long de sa queue tendue .

Virginie  récupéra la mouille  qui bavait de son bout, et le porta à sa bouche .

-Tu as l'air d'être  un bon producteur, j'apprécie ton  petit jus !

Puis Virginie  commença à faire rouler les couilles de mon  mari entre deux doigts .

-les boules sont bien fermes...et plutôt  grosses! As-tu  été vidé  ce matin?

-Non madame...

-Et bien elles sont déjà bien pleines, rigola t’elle.

Virginie  malaxa longuement les couilles de Michel .

-Tes sacs sont confortables à peloter ...oh!

Virginie  marqua sa surprise.

-Tu es vraiment très souple!  C'est incroyable comme tes couilles s'allongent ! Regardez ça  les filles ...Raphaël , les tiennes sont beaucoup moins élastiques !

Puis, s’adressant à Caroline :

-Tu as fait du bon travail  Caroline!

Virginie  mi délicatement le bout mouillé de la queue de de mon chéri  en bouche.

-Elle n' est pas mauvaise , mais je crois  que tu  t' es souillé ? T'es-tu fait  dessus ?

-Oui madame.

-C'est donc vrai!  Ta maîtresse m'a  dit que tu aimes te pisser dessus?

 - Oui, j'aime me pisser dessus madame ...

-Et bien ,  je vois effectivement  que tu sens fort la pisse ,cela me plait bien, mais tu m'as Sali, tu es un sale porc!

Virginie  s'adressa à Raphaël :

-Toi, continue à te remplir les couilles, n’oublies pas que c’est l’anniversaire de Michel!

-C'est bien Michel , maintenant tu vas montrer ton cul à Virginie !

Michel se tourna, et prenant une position très cambrée, offrit sa croupe à Virginie.

La jeune femme la caressa doucement et longuement, alternant des petites claques flatteuses aux caresses vicieuses. Ses mains partaient du creux des reins, enrobaient les fesses, et disparaissaient entre les cuisses de Michel pour attraper au passage ses couilles.

Elle interrompit les caresses pour palper son cul.

-Voilà une croupe bien ferme ! voyons un peu ton trou.

Virgine tira sur les fesses de mon chéri pour les écarter et faire apparaître le trou.

-Mais c' est très bien ça , ton trou s' ouvre tout seul! Je ne voudrais pas me salir , nettoie ton trou, s'il te plait!

Michel mouilla  son doigt, et caressa les bords de son trou.

- Quel dommage que tu ne soi pas assez souple, je suis sur que tu aimerais nettoyer ton cul avec ta langue?

-Oui madame...

-Et bien, montre-moi comme tu es sale ,  enfonce ton doigt jusqu'à la garde , fouille-toi bien, et suce-le!

Michel s'exécuta .

-Recommence, ordonna  à nouveau Virginie tout en cliquant la croupe de mon mari .

Puis elle prit le poignet de Michel et retira vivement ses doigts pour les remplacer les siens.

-Tu es trop mou, voilà comment les porcs de ton espèce  doivent  s' y prendre.

-Prends tes fesses  et ouvre-toi comme il faut!

Virginie enfonça d'un coup sec deux  de ses doigts dans le trou ouvert de Michel. Elle les manœuvra rapidement  et avec beaucoup  d'agilité .  Elle fit comprendre à mon chéri qu'il fallait qu' il se cambre davantage.

Elle ressortait entièrement ses doigts, pour les enfoncer d’un seul coup, entièrement, puis elle les tournait, et on devinait qu’elle les repliait à l’intérieur.

-Tu aimes que je te traite ainsi ?

-Oui, répondit timidement mon mari.

-Sais-tu qu’habituellement, ce sont les femelles que l’on baise ainsi, les bonnes putes à queue?

-Oui

-Je crois que tu n’es pas un porc, mais une bonne truie, une bonne grosse truie à pisse et à queue… Comment veux-tu que nous t’appelions ?

-Je suis une truie…

-C’est bien ! Tu dis que tu aimerais bien téter ta queue et sucer ton cul ?

-Oui madame, je suis une bonne pute, une bonne truie…

-À quatre pattes maintenant, on va voir ce que tu sais faire. En levrette, et la croupe bien haute.

Nous étions assises à un mètre de Michel. Je me branlais comme une folle. Je savais ce qui allait se passer. Michel  prit la position ordonnée. Je me suis approchée ,à genoux pour flatter mon mari de quelques claques sur la croupe puis j’ai fait signe à Raphaël de s’approcher je l’ai longuement sucé, c’était délicieux. Sa bite dégorgeait littéralement sa mouilles dans ma bouche. J’aurais voulu boire sa semence, mais j’ ai recraché sa tige. Je les branlé un peu, puis Raphaël c’est mis à genoux. J’ai présenté mois même sa queue devant le trou ouvert de Michel, puis je lui ai dit :

-Vas-y Raphaël, encule bien ma grosse truie, montre nous comment on traite les putes.

Le jeune homme c’est enfoncé d’un coup entre les fesses de Michel, jusqu’aux couilles. Mon chéri à poussé un petit grognement, mais je savais que c’était un grognement de plaisir.

-C’est bon mon chéri, elle est bonne sa queue.

-Oh oui, c’est il contenté de de grogner.

-Prend très fesses, ouvre toi mieux, que ses couilles viennent fouetter les tiennes… Voilà… Tu les sens ?

Raphaël enculait Michel à grand coup et ses couilles longues et lourdes claquaient bruyamment celles de mon cochon.

-Maintenant décule, ordonna Virginie, il faudrait pas que tu te vides quand même.

Le garçon obéit.

-Dit coup de queue, dix coups de fouet sur le trou, et il faut compter ! Et toi, tu ressors ta bite  chaque fois !

Et ainsi nous nous amusâmes et rime de bon cœur.

Chaque fois que le jeune garçon enfonçait sa queue dans le cul de mon mari, celui-ci celui-ci disait :

-1…2…3….

Puis venait la série de coups de fouet , et à nouveau il annonçait

-1…2…3….4 etc

Du coup, nous devenions actives. Pendant que nos deux mâles forniquaient, nous leur travaillions les couilles.

-Il faut bien les remplir, annonçai-je. Je veux que tout à l’heure vous produisiez un bon jus !

Le jeu de l’enculade à bien duré vingt minutes. Puis nous les avons séparés.

-À genoux chéri

Cela me plait toujours d’ appeler mon mari à la fois avec des petits mots gentils puis de le traiter par la suite comme un porc.

-Et toi Raphaël, présente lui ta queue.

Il exhiba ses attributs de mâle devant le visage de Michel ? Les deux mâles bandaient comme des ânes. Michel mouillait comme s’il pissait.

-Lèche-le, ordonnais-je. Je veux voir ta langue caresser ses couilles, qu’elles deviennent brillantes de ta salive. C’est ton cadeau d’anniversaire mon chéri, cette belle queue est pour toi. Ta bouche de grosse salope est une machine à traire… Prends-les dans ta bouche, gobe-les…aspire-les…Tu les sens se remplir ? Il sera pour qui le bon jus ? Pour mon petit mari chéri !

A suivre...

2 septembre 2012

Mon cochon de petit mari...

Cet été à été propice à quelques exhibitions bien cochonnes de mon petit mari, exhibitions bien excitantes, car devant les copines des copines, venue admirer mon spécimen comme s'il s'agissait d'une curiosité esposé à la foire...

Ni photos, ni film hélas, car quand nous sommes nombreuses, ce serait trop compliqué pour respecter l'anonimat de chacune.

Mais, je me suis bien amusé également toute seule avec mon cochon, et je suis ravie de vous en faire profiter: Deux heures de film. Ils seront en ligne dans quelques jour, mais en attendant, voici quelques photos.

Slip moulant bien son cul...

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Et bien tendu pour sa maîtresse...

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On baisse et on montre...

 

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Croupe rond et ferme, agréable à claquer...

 

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Et à cravacher...

 

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Rien est trop beau pour son trou...

 

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Mon petit mari se laisse traire docilement...

 

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Et oui, mon chéri aime se pisser dessus...

 

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Et moi, j'aime lui travailler ses sacs à jus pisseux...

 

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Vous la verrez se doigter le trou du cul...

 

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...se promener un doigts dans le cul, la bite à la main...

 

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...et subire une fouille détaillé de son trou.

 

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Michel Réclame, la pisse (ici, la mienne)...

 

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Depuis ce matin, la récolte est bonne...

 

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Vas y mon chéri, montre bien comment tu aimes te branler...

 

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...et te caresser avec ta pisse!

 

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Et moi, j'aime travailler tes couilles pisseuses pendant que tu te vide dans ta main...

 

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...et te regarder caresser ton ventre encore dégoulinant de pisse avec ton sperme ...

 

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Comme mon petit mari est un gros cochon, il ne se lavera pas. J'aime son odeur de pisse et de foutre!

Vous retrouverez bientôt les films de ces séances d'été. Laissez moi vos commentaires. Si vous avez d'autres idées pour le rendre encore plus cochon, n'hésitez-pas!

Bises, Caroline

7 août 2012

Pic-nique (suite)

...Devant mes amies, Michel est capable de bander pendant des heures, et de mouiller comme une fille...

Cool!

 

L’été est vraiment ma saison favorite ! Nous avons la chance d’habiter une maison à la campagne, bien à l’abri des regards. Ainsi, aussitôt que les températures deviennent estivales, Michel doit se débarrasser du moindre vêtement. Quant à moi, il m’arrive rarement d’évoluer complètement nue. Je préfère porter des tenues légères et sexy : jupe très très courte laissant facilement voir ma culotte, chemisier volontairement déboutonné… ça excite mon chéri, et il me montre sans pudeur son plaisir en exhibant sa queue dressée.

Nous avons installé un portail et un portier avec caméra. Pas de risque d’ouvrir sans savoir qui est derrière ! Lorsque nous accueillons mes amies, c’est Michel qui ouvre, nu comme un ver. Je m' arrange  pour qu' il ne sache pas qui est la, car je tiens a  ce qu' il ait la surprise...

Cette partie de la propriété qui donne sur l’entrée n’est pas complètement protégée des regards indiscrets. On peut tout à fait voir ce qui se passe de l’autre côté en écartant les thuyas et en montant sur le muret. Ceux qui s’y aventure, pour notre plus grand plaisir, peuvent voir Michel évoluer complètement nu, ventre et cul bien lisse. Pour les séquences « chaudes », cela se passe de l’autre côté de la maison.

Je tiens à ce que vous puissiez  imaginer le cadre particulièrement excitant dans lequel nous évoluons, comme si vous y étiez.

Le weekend dernier à été l’occasion d’une petite partie entre amies, histoire de fêter l’anniversaire de mon chéri. Au milieu de la matinée, Agnès, Sophie et Véronique arrivèrent en début d'après-midi. Au programme, balade, pique-nique , et surprise...

Nous avons roulé une petite heure sur une route e montagne. Michel était nu, installe entre Véronique et Sophie. Tout en papotant toutes les deux, elles s'amusaient à travaillera les couilles de mon chéri. J’adore leur manière de traiter Michel, de le branler ou de lui travailler les couilles sans faire de cas de lui, comme si elle s’occupaient de leur toutou...

Nous sommes arrivés près d'un chemin ou nous avons laissé la voiture. Alors nous avons toutes ôté  nos culottes .la consigne avait été de les porter le plus longtemps possible, et je dois dire que le résultat était à la hauteur de mes attentes!

Dans le "matériel" amené , il y avait un martinet pour chacune, et deux bouteilles d'un litre et demi de pisse vieilles de quelques jours... Nous avons confectionné une petite jupette en accrochent chaque slip autour de la taille de Michel avec une ficelle, puis les culottes ont été curieusement arrosée de...

-il faudra veillé à ce qu'elles ne sachent pas, dis je en rigolant.

Mon mari était adorable! Son cul rond et son ventre caressépar la guirlande de culottes sales et trempées...

J'ai bagué ses couilles et nous y avons suspendu une clochette . Nous avons marché une heure sur le chemin, désert (hélas!), avant d'arriver à une petite clairière. Nous nous amusions à fouetter mon chéri à tour de rôle, et son cul qui était exposé à l'air malgré les culottes a très vite rosi.. Nous étions près des alpages. Le son de sa clochette se mêlait aux clarines des vaches. Il était tout à fait à sa place, Michel, la  queue à la main, se branlottant sans cesse pour faire sonner la petite cloche, comme une bonne vache que l’on emène pour la traite !

         Nous avons installé le pique-nique, puis Sophie à planté piquet et nous avons enchaîné mon chéri par les couilles avec son anneau. La chaine était très courte, si bien que le moindre mouvement l’obligeait à tirer sur ses sacs à jus. C’était rigolo de le voir cul nu assis sur les épines de sapin, alors que nous étions , nous, confortablement installées sur notre couverture!!!

De puis le départ de la maison, nous avons veillée à ce que Michel boive copieusement, pour faire en sorte que sa vessie soit toujours pleine. Bien sûr, comme toujours il lui est interdit de pisser sans mon autorisation. À la fin du casse-croute, il n’en pouvait plus.

-Qui veut le faire pisser ? demandai-je.

Sophie se le va. Elle le détacha, et lui fit faire quelques tours, le tenant en laisse par les couilles. Puis elle le fit s’allonger. Elle prit sa queue et de l’autre main appuya sur son ventre. Elle fut très adroite. Le jet puissant partit très haut et retomba en cascade sur le torse de mon chéri. Elle dirigea savamment sa bite pour que rien ne soit perdu. Les derniers jets furent recueillis dans un verre. Elle releva Michel, le caressa soigneusement, utilisant le contenu du verre pour qu’aucun endroit ne soit oublié. Elle lui fit écarter les cuisses, et sa main disparaissait derrière son cul puis revenait glisser sur ses couilles et sa bite.Ainsi, elle s’assurait qu’il fut entièrement souillé de pisse. Quand elle eu fini, elle lui demanda :

-offre moi tes couilles, j’ai envie de les claquer.

Michel fléchit légèrement les genoux et écarta ses jambes pour que Sophie puisse s’amuser avec ses couilles. Une bonne série de claques suivirent, puis mon chéri eut droit au martinet .

Mon téléphone  sonna à ce moment-là . C' était  Virginie , ma surprise pour Michel...

Mon cochon se doutait que quelque  chose se préparait, car  les filles  étaient  toutes excitées.

Virginie apparut derrière  les sapins qui bordaient la clairière ou nous nous  étions installées . Elle était accompagnée de Raphaël un garçon de 25 ans. Raphaël  était entièrement  nu...

N'oubliez pas  de laisser votre commentaire!

A suivre

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4 juillet 2012

Pic-nique

Pour fêter l'anniversaire de mon chérie, ballade et pic-nique... Oui, mais, une journée pas comme les autres!

Voici la photo souvenir: Sous les ordres de Virginie, Michel à branlé sa queue d'âne devant la jeune femme, mais à peine avait il juté, qu'elle lui à demandé de se pisser dessus. Elle avait pris soin auparavant d'enlever sa culotte bien sale (préparée spécialement depuis une semaine...), et l'avait délicatement posé sur le groin de mon mari. Mon porc l'a bien téter pendant qu'il se masturbait. Quand il à eu fini de s'arroser, le slip sale était trempé de pisse. Michel l'a longuement sucé sous les encouragements de Virginie...

Pisfille

Bientôt le récit...

8 juin 2012

Livré aux jeux capricieux de ces dames...

 


La soirée était bien avancée, et j’étais encore sur ma faim. Sophie profitait de Michel volonté, mais je voulais reprendre un peu la main. Je souhaitai humilier davantage mon mari…

Certaines filles étaient restées en retrait par timidité. Devant les autres, sept ou huit qui participaient au jeu, je fis approcher Mlichel. J’ai planté dans son cul un magnifique fouet dont la poignée est un plug parfait, et j’ ai libéré ses couilles de l’anneau.

-Tu va te présenter à chaque table, la queue à la main en t’astiquant.  Tu te présenteras ainsi devant chaque fille en disant exactement ceci :

                « Bonjour madame, ma maîtresse Caroline m’a ordonné de nettoyer mon trou du cul devant vous, voulez-vous bien me faire sucer le manche de mon fouet ? »

 

Quand tu l’auras bien nettoyé, tu te fouilleras comme il faut et au moins cinq ou six fois ton trou, puis tu goberas tes doigts souillés  en disant : « c’est bon madame » ensuite, tu réclameras ta récompense : Vingt coups de fouet sur le trou et vingt Autres sur les couilles et n’oublie pas de t’astiquer. Pour finir, tu diras « merci madame, voulez-vous bien remettre le fouet à  sa place ? », puis tu iras voir une autre fille, etc.  Aller tu peux y aller…

J’ai attiré l’attention en m’adressant à toutes…

-Michel va venir vous voir, il a quelque chose à vous demander…

Ce fut un des moments les plus excitants de la soirée. J’ai suivi Michel à chaque table pour bien profiter et me branler sans pudeur sous ma jupe.

Certaine suivirent à la lettre les consigne,  d’autres se prirent vraiment au jeu et s’amurèrent vraiment.

Il y eut une table ou les filles se montrèrent particulièrement imaginatives , vicieuses et délurées. C’était la table de Stéphanie, de Léa, d’Andée et de Juliette elles le gardèrent une bonne heure. Elles ne se contentèrent pas du manche du fouet, et n’on pas eu peur de se salir les doigts, mais c’est vrai que mon chéri avant déjà bien nettoyer son trou. Elles s’amusaient à le prendre par les couilles, resserrant les mains à la base de la queue et faisant gonfler ses boules. Elle lui faisait écarter ses fesses à pleine main pour le doigter à tour de rôle et riait de bon cœur en voyant un gros filet de mouille pendre au bout de sa queue.

Stéphanie savait particulièrement l’obliger à prendre une position ou une autre en le tenant fermement par les couilles.

-C’est bon hein mon joli porc d’offrir son cul aux filles, tandis que toute l’attablée se déchainait à coupe de claques et de fouet … Tu es un beau cochon bien sale, mais tu peux  faire bien mieuxencore, tu vas nous montrer!


C’était un beau bouquet final qui se profilait.

Michel fut installé par terre en levrette, le cul bien haut. À tour de rôles toutes les filles vinrent l’enculer au god ceinture. Il couinait comme un goret, tandis que sa bite et ses couilles étaient travaillées. Entre chaque enculade, une bonne série de claques pour le flatter :

-C’est bien, c’est bien…

Pour finir, Stéphanie a tenu à ce qu’il fasse le cochon, qu’il fasse devant nous les choses les plus sales…

Nous réanimes plusieurs tables, nous installames autour, tandis que Michel du s’allonger au beau milieu. Sa queue était si tendue que je suis sure de ne l’avoir jamais vu aussi alongée. Son bout remontait bien plus haut que son nombril . Il effleurait la peau de son ventre ou une petite flaque de mouille s’étalait.

-Montre-nous comment tu te travailles la queue et les couilles, lui ordonnais-je. Tu ne juteras que quand ta maîtresse te le dira !

Michel, allongé sur le dos, les cuisses bien écartées se caressait doucement en gémissant. D’une main il s’astiquait lentement, et de l’autre il empoignait ses couilles, les palpait, les étirait… au bout d’un moment, je lui tendis un god, le plus gros et le plus long que je possède. Il se l’enfila d’un geste franc en murmurant :

-Hum, c’est bon…

-Il aime s’enculer à sec ! ajoutai-je

Sa branlette était très lente. Il savait que ce serait difficile de tenir et de se retenir, alors de temps en temps, il lâchait sa queue pour se goder.

N’oublie pas chéri, le seul ordre que je te donne est d’attendre mon ordre pour gicler. Stéphanie veut que tu nous montres le meilleur de toi. Prouve-lui que tu n’es pas un homme, mais une véritable curieusité, un animal que l’on expose dans les foires. Montre-nous ou est ta place…

Michel sortit son god, Il était si long, que l’extrémité était légèrement souillée. Il le porta à sa bouche et commença à le lécher sous nos petits gloussements. Lui qui n’avait pratiquement pas dit deux mots de la soirée commença nous dit :

-J’aime nettoyer mon cul…

Puis il pri sa queue pour la tenir à la verticale, se concentra et commença à se pisser dessus. Il pinçait légèrement le bout pour que le jet puisse venir jusqu’à sa bouche qu’il avait ouverte. De sa main libre, il se caressait avec son urine, prenant soin de l’étaler sur tout le corps.

Il recommença alors à se branler, mais commençait à être tellement excité qu’il devait souvent interrompre son mouvement de va-et-vient.

-Je suis plus sale qu’un porc, déclara’-il en haletant, venez vous faire nettoyer le trou du cul, je  vous le rendrais bien propre.

Sophie ne se le fit pas dire deux. Elle sauta littéralement sur la table et ouvrit ses fesses à pleine main.

Michel y colla sa bouche et se mit à la téter…

Sophie fut suivie de Stéphnie et de trois autres filles. Je fus la dernière à passer .

Je me suis moi-même doigter le trou à plusieurs reprises pour le faire nettoyer par mon mari, avant de lui faire lécher. Je me suis branlée comme il faut au passage. J’ai joui comme une folle, en l’arrosant confortablement au passage.

Du coup, nous lui avons toutes pisser dessus. Nous avons installé quelque serviette éponge de chaque côté de mon chéri pour que le précieux liquide ne s’échappe pas.

Savez-vous comment l’on nettoie un porc ? demandais-je en riant

Je suis allée à la cuisine et suis revenue avec une grosse éponge et une brosse .

Lâche ta queue ! ai-je ordonné

Je lui ai fai remonter les cuisses sur son ventre, et j’ai ôté le gode . Nous avions pri la précaution de remplir une petite bassine de pisse. J’ai trempé l’éponge dedans et ai commencé à le frotter avec.

-Il va être bien propre le cochon de Caroline…Oh, mais cette queue est toutes sales…

Je frottai sa queue avec l’éponge pisseuse …

-Voilà un porc heureux

Elles applaudirent

J’échangeais alors l’éponge contre la brosse…ce fut moins agréable

-Il faut me brosser le cul Caroline, bien me nettoyer…

Je me suis appliquée, faisant aller et venir la brosse sur son trou…

-Allonge toi que je te brosse les couilles et la queue.

Mais Stéphanie m’a devancée. Elle m’à arraché la brosse des mains et à commencer à le « nettoyer »

-On dirait qu’il aime ça le cochon, tu aimes que l’on brosse tes sacs à jus et ta queue d’âne ?

-Oui madame, répondit Michel

Bien, maintenant que tu es bien propre reprend ta queue en main

Michel pri une serviette et commença à l’essorer dans sa bouche…

-Mais il à soif mon chéri !

J’ai trempé un verre dans le sceau à pisse et lui ai tendu. Il l’a bu en le dégustant…

Continu à te branler mon amour, on va te donner à boire.

Et pendant que Michel se caressait et mouillait comme une fille, nous l’abreuvions. Nous lui avons fait interrompu sa branlette pour le faire pisser dans le verre et qu’il puisse déguster sa propre pisse !

-Je peux vous montrer comment je peux être utile…je peux nettoyer vos trous, mais aussi vos slips sales…

Je voyais bien que Michel ne tiendrait plus longtemps, ses couilles devaient être bien pleines. Je pensais être la seule à lui offrir ma culotte à nettoyer, mais contre toute attente, une bonne dizaine lui offrirent leur slip, et  le comble est que plusieurs étaient aussi souillées que la mienne !

Pour que ce soit encore meilleur, chacune fut trempée dans le sceau de pisse avant de lui donner à sucer.

Il a dû interrompre  sa branlette, car il n’en pouvait plus ! Il suçait, taitait, lèchait… Mon chéri mettait du cœur à rendre les slips bien propres, débarrassé de toute souillure.

-Tu vas bientôt être autorisé à gicler devant nous, chéri

Les tâches furent réparties ainsi : Stéphanie empoigna ses couilles pour les étirer sans ménagement, Sophie s’occupa de lui manoeuvrer le god dans son cul. Une autre fille eut la délicate charge de recueillir le sperme de Michel dans un verre .

Je sortis de mon sac un slip puant véritablement la pisse et le foutre, et lui collait sur la bouche.

-Nétoie bien chéri,

De l’autre main, je lui tendais le verre de pisse

-Tien, bois mon chéri… c’est bon hein…Elles te regardent, tu comprends, elles n’ont jamais vu un vrai porc, elle s’attendait à voir un homme, un mâle soummi, et elle découvre un porc ! Branle toi doucement, je veux que tu te retiennes encore.

J’ai enlevé sa main et ai commencé à le sucer…

-elle est bonne ta queue pisseuse chéri…

Puis je lui ai rendu.

-Maintenant tu va donner ton jus hein ? Tu vas vider tes couilles dans le verre ? Je veux un bon jus bien épais, et un verre rempli ! Tu sais pour qui c’est le jus de couille ? Pour le cochon  de Caroline ! Eh oui, tu vas tout boire pour  faire plaisir à Caroline…

Michel c’est vidé en râlant. Il a rempli son verre aux trois quarts. Quand il eut repris ses esprits, je lui fais boire sa semence en disant : une cuillère pour Sophie, une cuillère pour Séphanie, et tous les prénons y son passé. Avanr de rentrer, je l’ai autorisé à remettre son slip, après l’avoir trempé dans le seau de pisse pour rentrer à ma maison, que son slip…

Pour ne pas salir les coussins, Michel c’est installé dans le coffre du quatre quatre, avec ordre de se travailler à nouveau la bite… …

Voici comment Michel ce magnifique porc doit s'habiller l'été quand nous, les filles, portons nos maillots de bain ...

D'abord pisser dans son slip, et récupérer son urine...

MichjeuxPi (1)

Ensuite, se déculotter...

MichjeuxPi (2)

Bien tremper son slip dans la pisse...

MichjeuxPi (13)

Se reculotter...

MichjeuxPi-(14)

Se caresser, et travailler sa queue pour bien se mouiller...

MichjeuxPi-(15)

Ne pas hésiter à mettre les mains...

MichjeuxPi (3)

Pour se souiller...

MichjeuxPi (6)

Continuer à s'arroser...

9

Et bien se frixionner...

11

Pour être un porc présentable!

12

C'est comme ça que je l'aime mon cochon!

23 mars 2012

C'est si bon de les voir s'ébattre...

Cela faisait déjà deux bonnes heures que notre couple de porc s’amusait et s’excitait. Ils s’ébattaient joyeusement, se léchant le cul, et lapant la pisse. Sophie n’avait plus aucune retenue. Elle profitait pleinement de Michel. Elle s’amusait à le branloter pour le faire mouiller, puis elle récupérait le petit jus du bout de la langue. Sa main était en permanence entre ses cuisses. Elle se branlait en toute impudeur, en gémissant doucement, et jouissait de temps en temps. Ils passaient de longs moments assis dans la pisse, l’ un en face de l’autre,cuisses écartées, à s’astiquer mutuellement. Alexie et moi decidames qu’il temps de traire Michel.

Il eut droit à une nouvelle douche de pisse, mais cette fois, Sophie fut aussi arrosée. Une fois nos vessies vidées, ils se mirent à genoux l’un en face de l’autre, se prirent dans les bras et s’embrassèrent obsèbément tout en se pelotant. Une louche et des petits seaux étaient à disposition dans la piscine. Nous nous amusâmes à les arroser, et nous interonpiment de temps en temps leurs baisers pour les désaltérer. Ils buvaient à la louche la pisse, puis s’embrassaient  faisant passer le délicieux liquide d’une bouche à l’autre…

-À quatre pattes les cochons, ordonna Alexie.

À quatre pattes dans la pisse, ils durent à nouveau se renifler le cul, puis lécher et se téter le trou mouillé. Incroyable comme l’un et l’autre s’exitait.

-Viens le traire chérie, annonçai-je à Sophie

Nous nous mîmes en cercle, Michel debout, Sophie à côté. Je m’approchais, fouet en main.

-Cinquante coups ! annonçais-je à la jeune femme.

Je fis mettre Michel à quatre pattes. Obéissant, il ouvrit son trou en tirant sur ses fesses. Je lui administrais les cinq premiers coups, puis je tendis le fouet à Sophie.

-À toi !

Elle s’appliqua, visant adroitement le trou du cul de mon chéri qui gémissait. Au milieu de la séance, je fis changer la position. Sur le dos cette fois si, les jambes recroqueviller sur la poitrine offrant ses couilles et sa queue. Les boules annelèes et gonflées de Michel furent la cible des attaques vicieuses de Sophie.

Quand la séance fut terminée, Michel sec releva. Je me mis à genoux devant lui et commença à le sucer délicieusement, me régalant se son petit jus.

-Tu l’a déjà goûter petite cochonne , veux tu son jus ?

-Oh oui, s’il te plait supplia Sophie.

-Attend interrompi Alexie.

Mon ami fit remettre nos cochons à quatre pattes, et les engoda tous deux avec de beaux calibres, ils étaient bien remplis…

Michel se releva, je retirais son anneau et fit disposer Sophie à genoux devant lui..

-Prend ses couilles, et traite les comme les pies d’une vache, allonge les, n’ai pas peur de bien les tirer, regarde…

Elles pendaient comme celle d’un taureau, je crachais dans les mains et lui montrait comment faire, une main après l’autre.

Puis  se fut à son tour. Elle se montra appliquée, soucieuse de bien faire.

Michel bandait comme un âne, mais ce n’était pas exceptionnel, car il bandait depuis notre arrivée. Je commençais à le branler, doucement, car je savais qu’il ne pourrait pas se retenir longtemps. Tout en le masturbant, je frottais de temps en temps son gland humide sur le visage et les lèvres de Sophie. J’interompis un instant la branlette pour murmurer à l’oreille de mon mari :

-Tu n’as pas une petite envie ?

Je ne suis pas sûre que Sophie ait entendu, mais il m’a semblé détecter un petit sourire juste à ce moment.

Pour permettre à Michel de se soulager, je me contentais de tenir sa queue immobile à cinq centimètres du visage de la jeune femme. Elle ouvrit la bouche au moment ou un petit jet jaillit.

-Bon anniversaire lui dis-je. Tout le monde applaudi !

Sophie Têtait la queue de mon chéri, et buvait tout en se branlant. Je sortis la queue  de manière à ce que son visage soit arrosé comme il faut. Elle jouit une première fois.

Je repri la branlette. Sa langue était tendue en avant et faisait des aller et retour autour du gland. J’accélérais le mouvement, en même temps qu’elle commença à secouer de plus en plus fort les sacs à jus de mon cochon d’amour.

Michel lâcha un premier jet si puissant que Sophie fut surprise. Il y en eut ensuite cinq ou six.

-N’avale pas chérie, garde le en bouche.

Je fini d’essorer la bite de mon cochon, étalant les dernières goutes de sperme sur le joli visage de Sophie. Ensuite, je pris un pot à yaourt que je lui présentais.

-C’est ton anniversaire ma chérie, tu dois boire ce nectar dans un calice, recrache !

La jeune femme s’exécuta, remplissant la moitié du récipient. Je fis mettre mon Michel à quatre pattes, le cul bien haut.

-Ouvre ton trou !

Il obéit, exhibant son trou du cul béant. Alors j’y versais le jus trait de ses couilles. Sophie n’attendit pas que je le lui demande, elle y plongea ses lèvres. Elle commença à laper comme une petite chatte, puis enfonça sa langue. La coquine s’énervait et râlait de voir que la plus grosse partie de jus restait enfouie dans le cul ne Michel.

-Ne pleure pas chérie, tu veux tout ?

-Oui, rala t’elle.

Je la fis allongée par terre, et mon cochon vint s’accroupir, le cul bien ouvert, à quelques centimètres de la bouche de Sophie. Elle tendit la langue.

J’enfilais deux doigts dans le trou de mon chéri, et quand je le retirais, le jus de couilles coula immédiatement dans la bouche de la jeune femme. Elle finit par coller sa bouche sur le trou pour aspirer bruyamment les restes de sperme.

-N’avale pas encore chérie…

Je les fis relever.

-Embrassez-vous, il faut partager…

Ils s’embrassèrent à pleine bouche, leurs langues se fouillèrent et le foutre passait d’une bouche à l’autre. Je finis par les faire recracher dans ma main, et étalait le jus sur leurs visages…

Difficile de résister à la tentation de gober la queue de Michel et de se délecter de son jus... Moi, je ne m'en lasse pas!

Contemplation (1)

16 février 2012

Nouveau blog

Je suis ravie de vous faire découvrir le nouveau blog que je viens de metre en ligne:

http://filles-deculottees.erog.fr

Tout est dit dans le titre, alors si vous voulez nous voir déculotter ces petites femelles, qui ne vienne que pour ça, rendez-vous sur ce blog, vous en serez beaucoup plus sur moi...

9 janvier 2012

Un couple de porc


Alexie s’approcha et me chuchota à l’oreille :
-Sophie est une petite jouisseuse, tu sais. Je suis sûre qu’elle n’en peut plus et qu’elle est trempée…
-Crois-tu qu’elle se prêterait à quelques jeux ?
-Elle en crève d’envie, n’as-tu pas remarqué quelque-chose ?
-Non…
-Elle est la seule à jouer avec ton mari sans mettre de gant… toutes les filles en portent pour peloter ton chéri, mais Sophie n’a pas peur de se salir. Ça lui pait. Regarde comme elle le branle !
Michel était poisseux de pisse, et Sophie le branlottait délicatement, avec attention, méticuleusement. Ses mais glissaient sous son cul, filaient entre ses fesses, forçait le passage. Elle était assise et serrait ses cuisses l’une contre l’autre avec un petit mouvement…
-Elle aime bien se faire diriger, tu sais.
Moi aussi j’avais envie de glisser ma main sous ma jupe !
Il se préparait une nouvelle douche de pisse. Une fois de plus, c’est Alexie qui avait prise l’initiative, mais Sophie, aussitôt avait pris les choses en mains. Elle s’occupait de Michel avec « soins » comme si c’était un petit toutou .
-Qui a une petite envie ? demanda’elle. Une demi-douzaine de filles s’approchèrent.
Sophie fit allonger Michel sur le dos dans la piscinne trempée de tout à l’heure. Elle s’accroupit au dessus de son visage, écarta sa culotte et commença à pisser. Elle pris soin de le souiller entièrement en changeant plusieurs fois de position. Puis elle se fit nettoyer et commença à branler sa trique pisseuse. Les filles se succédèrent ensuite, mais le plus étonnant, est que Sophie n’ hésita pas à mettre à genoux dans la pisse. Elle continua à branler mon porc tandis que ses copines l’arrosaient…
Il se levèrent tous les deux, et comme elle se dirigeait vers les toilettes pour se laver les mains, Alexie l’attrapa par le bras.
-Viens voir ma chérie, lui dit-elle d’un air malicieux.
Tout en lui tenant le bras, elle souleva sa jupe.
-Tu as l’air bien excitée, il te plait bien le cochon de Caroline ?
Sophie ne répondi pas. Elle était devenue rouge et essayait de rajuster son vêtement comme il faut, sans y parvenir. Elle avait une petite culotte « shorti » blanche, bien moulante. Du coup, toutes les filles s’étaient approchées.
-Viens ici toi ! Ordonna Alexie à l’ intention de Michel. Position !
Michel pris la position de soumis habituelle, genoux fléchi, cuisse écartée  tenant ses fesses à pleine main pour les écarter.

                                         Les douches de pisse rendent mon cochon heureux!

51
Alexie avait du mal à baisser complètement la jupe de son amie. Je décidais de l’aider. En trente second, Sophie qui protestait, mais sans grande conviction, se retrouva nue, sa petite culotte baissée à mis-cuisse. Elle avait un superbe corps. Une poitrine généreuse avec des bouts qui pointaient effrontément et une croupe bien ronde et cambrée exagérément. Elle ne se débattait plus. Bien au contraire elle fini par montrer une incroyable docilité. Sophie lui ôta complètement sa culotte s’exclamant en pouffant de rire.
-Cette petite cochonne mouille comme une pute !
Elle la fit passer de main en main.
-Elle est bonne, nettoie la comme il faut ! ordonna’elle à Michel
Il ne se le fit pas dire deux fois. Il la goba littéralement et la suça bruyamment.
Puis elle fit mettre Sophie à genoux, le visage à quelques centimètres de la bite de Michel.
-C’est ton cadeau d’anniversaire, renifle la bien…
Pour toute réponse, Sophie enfourna la tiges juteuse de mon chéri, et commença à la têter.
Visiblement, tout comme Alexie, certaines des filles présentes avaient l’habitude de jeux particuliers avec la jeune et jolie Sophie. Quelque une d’entre elles s’était approcher et caressaient vicieusement Sophie. C’elle ci avait écarté les cuisses et se faisait branler sans aucunne gène.
-Tu aimes les queues pisseuses ? et sans attendre la réponse, alexie annonça :
-A la piscine
C’était très troublant de voir Sophie, toute nue, défilant sans aucune gène, exposant  sa fente humide toute lisse, tirant Michel par les couilles.
Il y avait trois ou quatre centimètre de pisse au fond. Michel s’allongea tandis que Sophie s’installa à genoux.
Je crois que nous défilèrent toutes ! une vingtaine de vessies qui se vident… Après chaque douche, Michel du faire la toilette complète, recto verso, de la demoiselle, tandis que Sophie le suçait tout en le branlant dans la pisse. Un régal !
Je me suis dit que mon chéri devait avoir la vessie bien pleine avec tout ce qu’il avait bu., et j’ai décidé d’inverser les rôles. Sophie se mis à genoux, cuise grande ouverte. Son cul trempait…  On lui donna l’ordre de s’arroser la chatte et de se branler.
Mon chéri, lui, du se soulager dans la bouche de Sophie. Elle buvait la petite pute, tout en s’astiquant.
Après une petite demi-heure de ce jeu, Alexie leur ordonna.
-Continuer à jouer, nous allons prendre notre déssert !
Notre couple de porc passa l’heure suivante à s’ébattre dans la pisse. Il se branlottaientt, se pelotaient, se reniflaient se lèchaient…
Interdiction leur avait été donnée de jouir…

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